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numberone
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Inscrit le: 01 Juin 2002
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MessagePosté le: 22 Fév 2010 13:23    Sujet du message: Blog Répondre en citant

Un autre papier sur le blog de Cinema France:
(merci à Arno)
***********
http://www.cinema-france.com/feature404_critique-le-prisonnier-2009-mini-serie.html

Critique] Le Prisonnier (2009) - Mini-série En attendant sa diffusion sur Canal + prévue pour ce soir, découvrez la critique de ce remake sur Cinéma-France.


Michael va se retrouver sans trop savoir pourquoi au milieu d'un désert de sable. Pour seule indication, les propos divagants d'un homme à propos d'un mystérieux Village. Dès lors, son avenir va devenir bien sombre, et c'est lorsqu'il va rencontrer un certain 2, que sa vie va devenir un enfer. Ne l'appelez plus par son prénom, un simple numéro suffit : 6.

AMC et ITV Studio s'allient pour nous offrir un revival de la série d'origine sans Patrick McGoohan (mort l'an dernier), mais remplacé au pied levé par un certain Jim Caviezel. Ce n'était pas chose facile que de faire revivre une mythique série anglaise des années 60 qui devint culte après seulement une saison, mais c'était pourtant le pari que s'étaient fixé les deux chaines, ainsi que Peter Gallagher, le scénariste. Présentée pour la première fois au Comic Con de l'été 2009, la mini-série avait tout pour réussir, un casting anglais 5 étoiles, une ambiance qui sentait bon la qualité et la technologie. Malheureusement pour nous, téléspectateurs, l'essai ne fut pas transformé et l'on se retrouve alors devant un remake qui aurait mieux fait de rester là où il était.

Mais pourquoi cette débâcle ? Les débuts commencent bien, et là où l'on aperçoit un remake, il s'agit plus d'une suite qu'autre chose. Le vieil homme que va rencontrer Michael-6 au départ fait clairement penser à Feu-McGoohan qui a réussi à s'enfuir, lui, et qui va alerter la première personne qu'il va croiser. Pourtant, c'est une suite qui ne donne pas son nom et qui va tenter de noyer le poisson dans d'obscures trames scénaristiques, baignant dans des incohérences flagrantes et dans des flashbacks sérieusement ébranlés par un rythme peu soutenu. Le Prisonnier (2009) est en effet plombé par des retours en arrière, censé nous donner des indications sur la nature de ce village. Village qui, rappelons-le, est une sorte de petite ville au style colonialiste, perdue au milieu du désert. Les décors font d'ailleurs agréablement leur boulot et baignent dans une authenticité vraisemblable. L'histoire va en tout cas s'intéresser à Michael, ou plutôt 6, qui va essayer de percer à jour les véritables intentions du « président » du coin, le très sérieux 2. Chaque protagoniste que l'on va rencontrer étant nommé par un numéro unique et non par un prénom.

Le scénario n'aura ainsi de cesse de nous torturer avec ces batailles psychologiques que vont se livrer les deux hommes. L'un disposant de vagues souvenirs, l'autre la puissance du pouvoir. C'est Ian McKellen qui incarne 2 à l'écran, et son interprétation, tout comme celle des autres personnages -y compris 6- apporte énormément à cette fiction. Ils ne sont pourtant pas aidés par une ambiance poussive et ennuyante dans bien des moments. Entre les clins d'œil trop appuyés pour être crédible à la série originale (on déplorera l'utilisation de la phrase « Je ne suis pas un numéro, mais un homme libre », à toutes les sauces) et le ton utilisé, on comprend mieux pourquoi les audiences ont chuté aussi lourdement lors de sa diffusion américaine.

Les flashbacks incessants sont la cause de tous ces désagréments, tant est si bien qu'il faut parfois s'accrocher pour comprendre certaines intrigues. L'ennui s'installe alors peu à peu, et les 6 épisodes (de 50 minutes chacun) sont difficiles à suivre. Il faut attendre la fin de chaque épisode pour raviver la flamme d'une envie paresseuse qui aura trop longtemps séjourné au sein d'une communauté assommante. Si la mini-série offre un juste et compréhensible clap de fin, on ne peut que déplorer ce besoin de revoir la série dans son intégralité maintenant que l'on connait « la vérité ». Il n'est d'ailleurs pas normal d'imposer une telle chose et un simple visionnage devrait, comme à l'époque de l'original, se suffire à lui-même. La faute également à des intrigues secondaires pompeuses qui ne servent à rien en l'état actuel des choses, et qui sont seulement là pour combler un trou béant dans un script qui ne semble pas être maitrisé. A trop vouloir en faire, Peter Gallagher se prend les pieds dans ses notes et essaye de les remettre dans l'ordre… sans succès.

Incompréhensible sur bien des points, navrant et frustrant sur d'autres, Le Prisonnier (2009) ne laissera personne indemne bien que porté par un très bon casting. À réserver aux amateurs de « peut mieux faire ».
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PHIL
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MessagePosté le: 23 Fév 2010 19:31    Sujet du message: Répondre en citant

AAhhh les critiques....
Des types qui n'ont jamais su réaliser quoi que ce soit, et qui viennent donner des leçons, en croyant poussivement et avec beaucoup de pretention que leur vision est la bonne...
Qui ne peuvent pas penser un instant que chacun peut percevoir les choses avec sa propre sensiblité...
Des gens payés pour donner leur avis....
Heureusement, on est pas obligé de les croire !
Ni de les lire !
Un épisode, "liberté pour tous" de la série d'origine, disait tout le "bien" que McGoohan pensait de la presse...
Moi, si j'écoutais les critiques, j'aurais jamais finit "the final project"...
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snarkhunter
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MessagePosté le: 28 Mar 2010 11:07    Sujet du message: Répondre en citant

PHIL, sans pour autant porter de jugement de valeur sur la série de 2009, je dirais que, le problème, c'est qu'un tel argument permet de légitimer les pires m... comme des chef-d'oeuvre artistiques : "Mon oeuvre est excellente, Monsieur, c'est juste que vous ne l'avez pas comprise". Si on adhère à ce point de vue, alors il n'y a aucune discussion possible sur quelque oeuvre que ce soit, et elles sont toutes de qualité et de valeur égale. Et les chansons du groupe NTM se retrouvent alors comparables à l'oeuvre de Bach ou celle de Beethoven, pour ne mentionner que ces deux-là parce que j'en connais bien certaines parties.

Alors, non, certes : on n'est pas obligé de lire la critique, et encore moins d'être d'accord avec. Et il y a de bonnes et de mauvaises critiques. Tout comme il y a de bonnes et de mauvaises oeuvres d'art. Prétendre qu'il en serait autrement, c'est instaurer le règne du politiquement correct, c'est nier la différence. C'est nier la liberté individuelle.

Le Numéro Six n'avait aucune envie de voir le monde entier ressembler au Village. Et je n'ai, moi, aucune envie de voir le monde entier ressembler aux USA ! Nous en prenons pourtant le chemin un peu plus chaque jour, insidieusement poussés par nos dirigeants.

Et, de ce Village-là, on ne pourra s'échapper : parce qu'il n'existera alors plus aucun "ailleurs" réel où se réfugier.
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PHIL
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MessagePosté le: 01 Avr 2010 09:18    Sujet du message: Répondre en citant

Le Numéro Six n'avait aucune envie de voir le monde entier ressembler au Village. Et je n'ai, moi, aucune envie de voir le monde entier ressembler aux USA ! Nous en prenons pourtant le chemin un peu plus chaque jour, insidieusement poussés par nos dirigeants.

Et, de ce Village-là, on ne pourra s'échapper : parce qu'il n'existera alors plus aucun "ailleurs" réel où se réfugier


Bien d'accord avec toi ! Mais ça semble mal parti....

Euh... Ceci dit, j'aime bien NTM...
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snarkhunter
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MessagePosté le: 01 Avr 2010 13:34    Sujet du message: Re: Blog Répondre en citant

numberone a écrit:
"Si la mini-série offre un juste et compréhensible clap de fin, on ne peut que déplorer ce besoin de revoir la série dans son intégralité maintenant que l'on connait « la vérité ». Il n'est d'ailleurs pas normal d'imposer une telle chose et un simple visionnage devrait, comme à l'époque de l'original, se suffire à lui-même."

Là, je ne suis pas d'acord avec cette critique. Des oeuvres de qualité jouent justement sur le satori, l'illumination, ou le retournement de situation qui intervient tard dans le scénario, pour imposer au spectateur de revoir l'ensemble afin de pouvoir enfin reconstituer la Vérité à la lueur des révélations qui viennent d'être faites.

Quelques exemples :

- le film "Sleuth" de Mankiewicz (et dépêchons-nous d'oublier le médiocre remake de ces dernières années)
- "The Usual Suspects" (Bryan Singer), malgré ses astuces certes assez grossières
- le génial et vertigineux "Donnie Darko" (Richard Kelly)
- les presque incompréhensibles "Lost Highway" et "Mulholland Drive" de David Lynch

numberone a écrit:
"La faute également à des intrigues secondaires pompeuses qui ne servent à rien en l'état actuel des choses, et qui sont seulement là pour combler un trou béant dans un script qui ne semble pas être maitrisé. A trop vouloir en faire, Peter Gallagher se prend les pieds dans ses notes et essaye de les remettre dans l'ordre… sans succès."

Là encore, pas d'accord ! Certes, c'est un peu embrouillé, et pas toujours aussi évident qu'on pourrait le souhaiter. Mais je trouve que le scénario ne s'en tire globalement pas si mal que ça. Presque toutes les questions trouvent une réponse ou une explication assez satisfaisante. Mais qui ne nous est pas donnée de façon explicite : c'est au spectateur de rétablir les liens manquants pour comprendre.

On a accepté tels quels les deux derniers épisodes de la série originale, alors je ne vois pas pourquoi on remettrait en question l'homogénéité et la logique de la nouvelle série. Il faut simplement faire l'effort d'en accepter les règles inhabituelles : dès lors, elle tient à peu près debout, elle aussi !

Mais un deuxième visionnage est impératif, aucun doute là-dessus !

P.S. Et j'ai bien conscience que les propos que j'ai cités ci-dessus ne sont pas ceux de numberone, mais bien ceux de la critique à laquelle il se réfère, alors inutile de vous retourner contre moi à ce sujet, hein !
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perceval
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MessagePosté le: 07 Avr 2010 10:20    Sujet du message: Répondre en citant

snarkhunter a écrit:
PHIL,
Le Numéro Six n'avait aucune envie de voir le monde entier ressembler au Village. Et je n'ai, moi, aucune envie de voir le monde entier ressembler aux USA ! Nous en prenons pourtant le chemin un peu plus chaque jour, insidieusement poussés par nos dirigeants.

Et, de ce Village-là, on ne pourra s'échapper : parce qu'il n'existera alors plus aucun "ailleurs" réel où se réfugier.


Je me permet d'apporter une autre interprétation : ce n'est pas le village que le numero 6 ne supporte pas, c'est le fait de ne pas avoir choisi d'y être; et que la population semble résignée a tout y accepter.

AMHA Patrick Mac Goohan a voulu faire une allégorie sur le thème de l'individu, et de sa place dans la société qui a tendance a uniformiser les consciences. En dénonçant en premier lieu l'affaiblissement de la personnalité par la société, mais aussi et surtout par l'individu lui-même, qui se résigne a accepter les codes de cette société pour mieux en faire parti, mieux en profiter, quitte a renoncer a ses propres aspirations.

Paradoxalement, et aller a Portmerion permet de prendre en compte cette dimension, le village est une sorte de société idéale pour un Anglais : cadre idyllique, confort assuré, pas de soucis matériel, jardins fleuris, amusement garantis. Les oeufs au bacon sont servit par de jolies soubrettes dans un confort cossu, que demander de plus avant d'aller au kiosque écouter la fanfare, ou au concour d'art.

Ce que l'auteur a voulu démontrer c'est que l'individu cède volontiers sa personnalité pour une vision du bonheur prête a consommer, déjà mastiquée, déjà pensé : il se résigne a ne plus faire ses propres choix.

Si d'ailleurs il a démissionné, chose difficilement compréhensible, c'est AMHA par ce qu'on lui a imposé de faire des choses dans une morale qu'on lui a imposée et que le simple fait que cela soit imposé suffit pour être refusé. Il ne veut aucunement être contraint a ne pas choisir ce qu'il fait.

Qu'on lui demande combien de sucre dans son thé et il fera son choix. Qu'on lui dise qu'il a arrêté d'en prendre pour soigner sa ligne et que c'est bien, il en prendra 6 : il fait ce qu'il veut, même si il n'est pas le seul a boire du thé et qu'il y prend plaisir, comme il le veut; ce qui importe c'est que c'est son choix.

Le message que l'on peut en tirer, en tout cas c'est ce que j'en fais, c'est que notre vie nous appartient : a nous de faire nos propres choix. Je ne prétend pas détenir la vérité de la série mais j'en ai fait ma propre vérité.

Nous sommes les premiers a nous aliéner dans une société; les avantages qu'elle nous procure ne doivent pas nous faire renoncer a notre personnalité, a nos choix intimes. Si certains bienfaits de la société font envie, c'est notre propre envie qui doit guider nos choix.

Partir en charter vers le maroc via un tour operator en all inclusive est parfaitement abordable et communément apprécié de vos voisins et collègues.

Partir en superseven visiter un village au nord du Pays de Galles, pour continuer a chercher tous les messages d'une série diffusée il y a plus de 40 ans parait totalement aberrant pour 99,99% de la population. Je ne prend pas plus de plaisir que ca a faire contre ce que pense le reste de la population, je prend plaisir a savourer mon choix, et j'en puise ma force.

C'est le premier jour de reste de votre vie, et elle vous appartient : vous pouvez dors et déjà, a partir de cet instant, avoir un avis critiques sur ce que l'on vous propose, refuser qu'on vous l'impose, et faire vos propres choix selon vos propres envies !

I will not be pushed, filed, stamped, indexed, briefed, debriefed or numbered !
MY LIFE IS MY OWN !
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MessagePosté le: 08 Avr 2010 07:59    Sujet du message: Répondre en citant

[quote="snarkhunter
Le Numéro Six n'avait aucune envie de voir le monde entier ressembler au Village. Et je n'ai, moi, aucune envie de voir le monde entier ressembler aux USA ! Nous en prenons pourtant le chemin un peu plus chaque jour, insidieusement poussés par nos dirigeants.
Et, de ce Village-là, on ne pourra s'échapper : parce qu'il n'existera alors plus aucun "ailleurs" réel où se réfugier.[/quote]


"snarkhunter Ce que tu décris la, je suis entièrement d'accord avec toi…
J’ai lu, il y a quelque temps déjà : « Un livre américain fort intéressant sur la génétique. »

J’ai été très surpris de lire, que la motivation première des chercheurs, industriels et politique étaient dans l’avenir de modifier le génome humain.

Pas pour le rendre plus intelligent, mais pour contrôler, ses instincts, ses pulsions de violence potentielle…

En prévision des incontrôlables désordres sociaux à travers le monde.

Des personnalités extrèments intelligentes se penchent déjà sur tous les scénarios possibles des événements probables de l’avenir…

Et ils ont dans leurs cartons des protocoles inattendus, pour contrer toutes sortes de crises aigues collectives.

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Peter Smith
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MessagePosté le: 08 Avr 2010 16:43    Sujet du message: N°6 Répondre en citant

Comme le dit la chanson :

- "Qui c'est les gentils ? Les gentils."

- "Qui c'est les méchants ? Les méchants."

Une Chanson à écouter jusqu'au bout.

Et d'ailleurs c'est qui les méchants ? C'est qui le gentil ? Le libre-penseur contre la morale collective ?

Gardons nous de jugements trop hâtifs. Personne n'a envie qu'on lui impose quoi que ce soit, mais dans la vie comme dans le monde il existe des hommes et des femmes qui font bouger les choses et d'autres qui n'en finissent pas de débattre quand à savoir qui doit et va prendre la parole.
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MessagePosté le: 10 Avr 2010 19:44    Sujet du message: N°6 Répondre en citant

si le Prisonnier de PMG voulait changer le système depuis l'extérieur avec le risque de se marginaliser, de se désociabiliser, celui de Jim Caviezel cherche à le faire évoluer de l'intérieur quite à y perdre son âme. Des deux solutions quelle est la meilleure ?
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Peter Smith
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MessagePosté le: 10 Avr 2010 19:54    Sujet du message: N°6 Répondre en citant

Pour revenir des USA, nous sommes encore loin du système américain. Il est ce qu'il est et vaut ce qu'il vaut, mais il n'est pas si mal que ça. Pas pire que le système Grec ou le Portuguais. Nous n'avons pas besoin des américains pour produire un système franco-français d'un type antérieur à 1940. Nos cultures et nos histoires sont différentes : rien de comparable. On a l'Histoire que l'on mérite et les gouvernements que l'on choisit. Si une majorité tend vers un Village Mondial, pour une paix mondiale où est le mal ? La cervitude ? C'est une histoire de point de vue.
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